Mais quel est donc ce stand qui donne autant de mal à Johnny et Jayro ? Alors que la fin s’annonce imminente, Jayro révèle qu’il détient une solution qui les fera sortir tous les deux d’affaire. Or, pour qu’il puisse la divulguer, il va falloir que Johnny répète quatre fois « C’est impossible ». Un jeu particulièrement débile alors que, de l’autre coté de la rive, le visage de l’ennemi mystérieux apparait enfin…et il s’agit de ?!
Tome plutôt sympa même si je n’ai pas pu m’empêcher de sourciller à quelques reprises. Notamment vis-à-vis de l’identité du nouvel ennemi et associé de Dio : Sandman. Oui, vous savez, l’un des personnages principaux qui avait eu l’honneur d’introduire l’arc Steel Ball Run et incarnait le seul indien parmi tous les participants. Sans compter que son objectif était clair : racheter la terre de ses ancêtres.
Du coup, il y a plusieurs choses que je ne comprends pas. Du genre pas du tout. Pourquoi développer autant le personnage de Sandman pour, ensuite, le mettre totalement entre parenthèse et le faire revenir en mode full retard ? Parce que oui, sa réaction de vengeur masqué frôle l’incompréhension et on reste « meh » face à ce cliffhanger tout pourri. Mais si encore il n’y avait que ça…
Hirohiko Araki aurait pu se rattraper en fouillant davantage le flashback de Sandman mais non, il le tue. Tout simplement. Sans stress. Alors que Sandman était deuxième de la course. It makes no sense. Après, peut-être qu’il n’est pas vraiment mort mais, au vu de la mise en scène, ça a l’air d’être le cas. Pourquoi gâcher aussi bêtement un perso avec autant de potentiel ? Incompréhensible. Heureusement que la fight en soi est relativement dramatique, que Johnny obtient son nouveau power-up, et que la deuxième partie relance l’intérêt. Ça n’empêche qu’on ressort de la lecture déçu.
