Avant d’être Paddington, « Roaarurooo » (son nom en langage Ours) écoulait des jours paisibles au Pérou avec son oncle Pastuso et sa tante Lucy. Jusqu’au jour où une violente tempête ne débarque et ne lui enlève brutalement oncle Pastuso. Et alors que la petite famille de trois devait prochainement visiter Londres, pays d’un ami explorateur, Paddington se retrouve finalement tout seul dans la ville-monde et livré à lui-même. Objectif : trouver une famille, être adopté par celle-ci, et recevoir tout l’amour qui lui est dû. Mais pourquoi diable est-ce si difficile d’en trouver une ?
Film principalement destiné aux gosses, Paddington est l’archétype du film mignon et parfaitement adapté à la magie de Noël. Valeurs d’amour, d’entraide et de compréhension sont les notions phares de ce long-métrage avec, en prime, un humour qui fait souvent mouche grâce à la maladresse irrésistible de l’ourson Paddington. Puis quel bagout ! Sans compter la technique, impressionnante de réalisme, ayant servi à lui donner vie. Quant à l’intrigue, « Paddington » étant avant tout un film familial, on se doutait bien que le happy ending serait de circonstance.
Même si je dois avouer avoir été surpris par le passé tout tristounet de l’ourson et la disparition de son oncle (je n’ai jamais regardé l’anime <_<). Nicolas Kidman ? Celle-ci joue son rôle de méchante taxidermiste obsessionnelle à merveille :3 Enfin, comment ne pas conclure en omettant de mentionner la morale de l’histoire : le plus important, au sein d’une famille, n’est pas le sang qui circule dans ses veines mais la force des liens qui la compose. À voir si vous n’avez pas perdu votre âme d’enfant (ou si vous avez des gosses huhu).