Nom d’une crotte au fromage ! Mais qui est donc ce Darry Dave ? Pourquoi en veut-il autant au Commandant et à ses trois fidèles compagnons ? Nul ne le sait…mais une chose est certaine : si l’octopus Daniel Dave n’est pas arrêté rapidement, le monde entier sera envahi…par des pingouins mutants. Totalement siphonné du bulbe ce Donovan Dave ! Il est temps pour nos manchots d’accomplir la mission la plus importante de leur carrière. Ça va ***** des bulles !
Ce n’est pas une surprise : « Les Pingouins de Madagascar » parviennent à nous faire rire du début à la fin pour peu qu’on ait gardé une âme d’enfant et qu’on soit fans de l’humour d’agent secret de nos quatre terreurs. À partir de là, les gags/références s’enchainement sans discontinu et, par conséquent, le rythme ne subit aucune baisse de régime. En bref : on rigole du début à la fin et, pfiu, qu’est-ce que ça fait du bien !
Pourtant, pas une crinière de lion, pas une tête de girafe, pas une queue de zèbre, ni même un popotin d’hippopotame à l’horizon ! Les Pingouins se suffisent à eux-même (⌐■_■) Et quelle fine équipe : Commandant est le leader, Soldat le coeur, Kowalski l’intelligence et Rico la bravoure. À eux quatre, ils forment la fine équipe des « Pingouins de Madagascar » et ce n’est pas un poulpe visqueux ressemblant étrangement à John Malkovich, ni même un loup agent secret incarné par Benedict Cumberbatch, qui les empêcheront de badasser like Penguins.