Pour une fois dans sa pu*ain de vie, Hank aimerait devenir quelqu’un de bien. Mais est-ce seulement possible au vu de toutes ces années d’errance p*rnographique et intellectuelle ? Un seul moyen de le savoir : faire ce qu’il convient de faire. Et cela commence par agir auprès de toutes les personnes qu’il affectionne : Charlie, Marcy, Julia, Levon…et, plus que tout au monde, Karen et Becca.
Et voilà : Californication, c’est fini. Certes, la conclusion sonne beaucoup trop « Happy Ending » et on ne pourra s’empêcher d’avoir cette impression de final bâclé. Reste que c’est bâclé avec classe et qu’on ne pourra décemment conspuer ce dernier épisode. Why ? Parce qu’il est bien écrit et que, enfin, la promesse d’un avenir (trop) radieux se laisse entrevoir. C’est peut-être trop beau pour être vrai. Ça ne respecte peut-être pas l’esprit fondateur de Californication. Mais fuck it, it’s fine anyway. Tu vas nous manquer Moody.