Et non, ce n’est pas une blague. L’affaire se passe en Italie (Calabre) : après avoir passé plus de deux ans en prison, un homme de 60 ans a été libéré par un arrêt de la Cour de cassation au motif que sa victime était, au moment du viol (car oui c’est un viol), « amoureuse ». Ce qui justifierait les relations sexuelles entre le pédophile et la fillette qui avait 11 ans au moment des faits.
À savoir une mineure dont la majorité sexuelle, et la majorité tout court, n’a pas été atteinte. Et on parle bien là d’une décision de justice confirmée en première instance par la Cour d’Appel. À savoir qu’elle fera ensuite office de jurisprudence et servira d’excuse en or à tous les pédophiles tordus d’Italie. Sur ce, vous m’excuserez, je m’en vais vomir.