Il avait déjà été condamné en 2008 pour « recel d’images à caractère pédopornographique ». Et donc, on le laisse exercer la fonction de directeur d’école primaire. Environnement essentiellement peuplé d’enfants âgés de 6 à 10 ans. Mais qu’est-ce qu’il ne va pas avec la justice française ? Pourquoi est-elle aussi arriérée en matière de sentences pénales et mesures d’encadrement à l’égard des pédophiles ? Non seulement c’est incompréhensible mais ça rend fou.
C’est lors d’un « atelier du goût », qui avait lieu au fond de la classe, derrière un paravent, que les élèves de CP devaient se bander les yeux et tenter de découvrir, au goût, quels aliments leurs étaient présentés. Le directeur et instituteur en profitait alors, sous prétexte qu’il s’agissait de nourriture à sucer, pour imposer des fellations aux enfants. C’est en décrivant ce qui s’était passé à leurs parents que deux gamines ont éveillé les soupçons des parents qui ont immédiatement porté plainte.
Placé en garde à vue et niant les faits, la police a découvert, à son domicile, une clé USB où étaient stockés plusieurs images et vidéos pédopornographique. Interrogée sur cette affaire, l’inspection d’académie de l’Isère a déclaré qu’elle ne savait rien du passif de l’homme. Je n’ose imaginer la colère des parents à l’heure actuelle. En espérant que ce sous-homme, si déclaré coupable, fasse l’objet d’un emprisonnement et d’une castration chimique (qu’il serait de bon ton de réinstituer).
