Je vous laisse imaginer le traumatisme à son réveil. Le drame s’est produit hier à 8h du matin : une jeune femme de 21 ans prend le RER A à la station Charles-de-Gaulle Étoile direction Cergy. Pas tout à fait réveillée, celle-ci décide de piquer un somme le temps du trajet : elle n’aurait jamais alors pensé que deux hommes profiteraient de ce moment de faiblesse pour la violer.
Le réveil est un supplice et, après s’être débattu violemment, la victime parvient à sortir du RER à la station Cergy-Préfecture. Quant aux violeurs, tous les deux d’origine roumaine, l’un se fait capturer dans la journée par la police grâce aux images de vidéosurveillance tandis que son complice, se sachant recherché, finit par se rendre. En espérant qu’ils écopent d’une peine réellement dissuasive et ne soient pas tout bonnement relâchés dans la nature comme ce fut le cas pour bien d’autres violeurs récidivistes.
Il faut que le gouvernement comprenne la nécessité d’être intraitable avec les criminels et de ne surtout pas les laisser dans la nature sous prétexte de « réinsertion sociale ». À partir du moment où il y a eu une seule, je dis bien une seule, victime collatérale, cette politique socialo-débile aurait dû être mise au ban. Aujourd’hui, à certains endroits, Paris est une ville coupe-gorge où le sentiment d’impunité règne en maitre chez certains désaxés. Assez.
