Depuis la fin de la trêve hivernale, c’est le même manège. Des migrants (environ 1000 cette fois-ci) s’installent sous les ponts de la station Stalingrad (19e arrondissement, lignes 2/5/7) et s’en font déloger quelques jours plus tard par les forces de l’ordre. Lesquelles les forcent à monter dans des bus qui les amènent dans des centres d’hébergement excentrés vis-à-vis de la capitale. Et vu que cette situation ne convient pas aux intéressés, ces derniers refont leurs bagages et reviennent à Stalingrad. Je vous laisse deviner la suite.
Et en attendant, les résidents doivent bien s’accommoder de la chose. Qu’importe que la sécurité des lieux ait drastiquement baissé depuis. Un migrant afghan témoignait ce matin de bagarres quotidiennes ayant lieu sur le campement. Principalement entre réfugiés mais parfois à l’encontre des citoyens. Pour autant, la Mairie de Paris a tenu à se défendre en expliquant que la plupart des expulsés d’aujourd’hui ne sont pas les expulsés d’hier. « Ce ne sont pas les mêmes, il s’agit principalement de primo-arrivants » affirme ainsi le préfet d’île-de-France Jean-François Carenco. Moui.
et ? c’est bien,c’est pas bien ?
pour moi,ils sont la, ont assument .
il faut leurs donner de quoi rester digne ! c’est tous …espèrons qu’ils pourrons bosser plus tard…
c’est aux frontières qu’il faut les arrêter ! une fois rentrés chez nous,c’est des concitoyens !
ce n’est pas plus compliqué que ça.
des papiers et au turbains !
essayons d’en tirer le meilleur …
ils seront peut être moins assistés que certains de souche « fainéante »
le bâtiment à besoin de mains d’oeuvre !