Homme redoutable que Wekapipo : ancien membre de la garde royale de la patrie de Jayro, celui-ci utilise ses sphères d’une manière autrement plus dangereuse et fatale que son collègue. Ainsi, même si les sphères de Wekapipo parviennent à être esquivées, les ondes de choc qu’elles provoquent ont la faculté de faire disparaitre toute vision cinétique du coté gauche…laissant libre cours à Magent, le partenaire de Wekapipo, de les achever en toute tranquillité. Du moins en théorie.
L’un des meilleurs combats de « Steel Ball Run » à ce jour : ça mérite d’être souligné. Il faut dire que la technique des sphère satellites de Wekapipo est redoutable et permet à Johnny/Jayro d’à nouveau se surpasser. Quant à ce Magent, on aurait pu penser qu’il ne devait sa place ici qu’à la spécificité de son stand (disperser toutes formes d’attaques sur la surface du sol) mais il semblerait qu’il soit plus résistant que prévu hm.
Et, pour revenir à Wekapipo, l’auteur a pensé à lui fournir un petit flashback histoire qu’on s’attache un poil au perso. Même si je doute qu’on ne le revoit par la suite. Quoiqu’il en soit, nous voilà avec un premier combat efficace qui, bien que s’étalant sur les 3/4 du tome, a le mérite d’être suffisamment condensé pour que l’on ne déplore aucun longueur. Venons-en maintenant au dernier quart : le sprint final de la 7e étape.
Assez court et au final peu intéressant en soi. Diego Brando est aux absents abonnés, Sandman est mort en mode « WTF »et il ne reste que Pocoloco et son stand de la chatte ultime pour assurer le spectacle. Franchement, je vais revenir sur Sandman mais le fait de l’avoir rendu méchant + tué en deux chapitres est l’une des choses les plus stupides que Hirohiko Araki ait fait dans sa saga des Jojo’s. Enfin…ce qui est fait est fait u_u