Arf, alors que le chapitre précédent m’avait plutôt plu de par sa noirceur et son rythme, voilà que celui-ci fait l’exact contraire. À savoir des chemins narratifs empruntés un millier de fois par Oda (petit garçon rejeté par tout le monde, protecteur qui le prend sous son aile, petit garçon qui finit par aimer son protecteur alors qu’il le détestait, etc). Du coup, ça agace plus qu’autre chose.
D’autant plus lorsque Oda tente d’instiller de l’émotionnel en faisant pleurer Law et Corazon alors que leurs caractère« tough guys » ne les prédispose pas à une telle attitude de « drama queen ». La seule info intéressante qu’on ait, c’est que Corazon travaillait avec la Marine et que Doflamingo est bel et bien un monstre. Et voilà. Manque plus que la mort de Corazon pour sauver la vie de son protégé (encore un classique vu et revu dans les flashbacks -_-).